Une étude présentée à l’ASCO, le congrès mondial du cancer à Chicago, démontre que l’ajout du ribociclib au traitement standard augmente la survie des femmes jeunes atteintes de formes avancées de cancers du sein.
Une bonne nouvelle à l’ASCO, le congrès mondial sur le cancer à Chicago qui a lieu comme chaque année début juin. Elle concerne les cancers avancés du sein des femmes jeunes. Car un médicament peut en effet en ralentir la progression. Son nom : le ribociclib (Kisqaly, laboratoires Novartis). Il permet de prolonger la survie de celles dont la maladie a débuté avant ou pendant la ménopause. Il s’agit ici d’une thérapie ciblée de la famille des inhibiteurs de tyrosine kinase (4 et 6), des protéines jouant un rôle majeur dans les voies de signalisation qui conduisent à la progression du cycle cellulaire et à la prolifération cellulaire.